Vie démocratique

Remboursement par l’Etat de quatre abonnements à des journaux de presse écrite ou internet.

Réforme constitutionnelle pour mettre en place une Nouvelle République qui prenne en compte les droits du vivant.

Création du Comité du Vivant, collège de sages et d’experts constitué de scientifiques et d’intellectuels compétents chargés d’éclairer sur toutes les questions liées à l’écologie et aux droits des animaux.

Le Comité du Vivant, qui étudierait les conséquences à long terme des politiques menées aujourd’hui, aurait pour mission d’aider les élus à prendre des décisions et d’informer la population.

Création de l’Assemblée du vivant, qui remplacera le Sénat et qui fonctionnera donc en lien avec l’Assemblée nationale.

Cette Assemblée du vivant aura pour fonction de représenter les intérêts des animaux non humains, des végétaux, des fleuves et des mers, ainsi que les intérêts actuels et futurs des humains.

Elle veillera au respect du vivant et devra s’exprimer en son nom.

L’Assemblée du vivant sera composée à un tiers d’élus du peuple, à un tiers de hauts fonctionnaires spécialement formés à toutes les questions qui touchent le vivant, et à un tiers de représentants des ONG spécialistes du vivant.

Ces derniers seront désignés par le Comité du Vivant. L’Assemblée du vivant aura le pouvoir d’initier des lois et de poser son véto à une loi décidée par l’Assemblée nationale, dans le cas où cette loi contrevient aux intérêts du vivant.

Suppression du poste de président de la République Française.

Fin du scrutin majoritaire à deux tours.

Instauration de nouveaux modes de scrutins, plus démocratiques, comme par exemple le système du jugement majoritaire

Instauration de la proportionnelle pour garantir une réelle représentativité démocratique.

Possibilité de révocation des élus.

Mise en place d’instances de contrôle du travail des élus.

Déprofessionnalisation de la politique et mise en place d’un statut de l’élu.

Mandat unique non renouvelable pour tous les mandats rémunérés.

Reconnaissance effective du vote blanc qui aura pouvoir d’annulation d’une élection.

Création d’un statut protecteur pour les lanceurs d’alerte.

Renforcement du poids du Parlement Européen sur celui du Conseil et de la Commission, avec notamment l’instauration des listes transnationales aux élections européennes et la primauté d’initiative du PE sur le conseil des ministres.

Transparence totale et limitation drastique du poids des lobbies au sein de l’ensemble des institutions européennes.

Fin de l’Europe forteresse et création d’une voie légale d’accès à l’Espace Schengen pour garantir la sécurité à l’ensemble des migrants et garantir le « zéro mort » aux frontières européennes, en particulier en mer Méditerranée.

Renforcement du droit d’asile, accélération des procédures et facilitation de son obtention pour faire de l’Europe un continent terre d’asile correspondant à sa vocation voulue par ses pères fondateurs.

Création d’un statut européen de « réfugié climatique ».

Création d’une Organisation Mondiale pour la Biodiversité (OMB)Celle-ci aura pour but de représenter les intérêts du vivant à l’échelle internationale et de définir des cadres qui devront être appliqués dans tous les pays signataires.

Celle-ci aura pour but de représenter les intérêts du vivant à l’échelle internationale et de définir des cadres qui devront être appliqués dans tous les pays signataires.

Création d’un gouvernement mondial : nouvelle instance ou ONU réformée, toutes les pistes seront envisagées.

Financement par l’Etat, pour les citoyens aux revenus les plus modestes, de quatre abonnements à des journaux indépendants de presse écrite ou en ligne, sous la forme de crédit d’impôt.

En effet, le financement public des entreprises de presse est défaillant actuellement, car il bénéficie principalement aux médias détenus par des milliardaires. Le système que nous proposons, inspiré des travaux de l’économiste spécialiste des médias Julia Cagé, permettrait à chaque citoyen de s’informer et de s’instruire à travers un abonnement à des organes de presse, et garantirait une part importante du financement des médias indépendants, leur permettant de remplir leur rôle de contre-pouvoir, nécessaire à toute société démocratique.